Hard work is simply the refuge of people who have nothing to do.

Partager ma paramagie ? Je ne savais pas où Aiden avait trouvé cette idée mais même si j'avais une assez bonne réserve de PM, je n'avais aucune envie d'en faire profiter mes voisins. Il était fort possible que j'assure les arrières de mon ancien colocataire, tout de même ne laissons pas mourir les intelligents. Donc, mon collègue n'avait aucun soucis à se faire au final si on était en mission ensemble. Je n'appellerai pas partager mais autrement. De l'entraide ? Du soutien ? Je ne savais pas trop lequel des deux termes choisir pour définir notre future relation sur un champ de bataille. Pour le moment on y était pas, et puis Aiden était plus en solo vu sa spécialisation.

- Si tu me le demande avec ce même sourire je pense que ça peut le faire

Parce qu'on pouvait bien dire que je ne souriais pas souvent, mon interlocuteur n'était pas mieux à ce niveau là. Surement à cause de son éducation trop stricte. Savoir qu'on était voué à tuer des monstres toute sa vie, ce n'était pas vraiment très appétissant comme futur. En même temps qu'est ce qui donnait envie dans ce monde au final ? Même ceux qui vendaient l'amour comme un sentiment merveilleux, se retrouvait dans un couple bancal ou bien se faisait tromper. A quoi bon s'enliser dans ce genre de choses ? J'avais eu ma dose avec Nathan et Serenity.

- Ouais, je sais pas si je dois le plaindre ou l'admirer de supporter une fille pareille

Soupirais je en pensant à ce pauvre Nathan. Il devait en subir des choses si elle était tout le temps aussi jalouse pour rien, en plus. Ce n'était pas comme si Nathan et moi on avait fait quelque chose de grave ou un truc de couple. J'étais déjà à la limite de me liquéfier quand on me touchait alors imaginer si on essayait plus sur ma personne, j'avais avais déjà des écœurements. Ce monde m'écœurait déjà à la base de toute façon. Encore plus depuis la disparition de Cain. Ce dernier était toujours un sujet sensible, encore plus quand on se permettait de parler de lui alors qu'on ne le connaissait pas. Même si Aiden n'avait pas précisément citer mon frère dans son discours sur la mort, je l'avais mal prit. Je m'étais surement emporté trop rapidement. Heureusement mon ancien colocataire était une personne patiente et compréhensive. Sinon je serai surement encore dans les toilettes ou bien on m'aurait jeté dehors comme un malpropre. En soit, c'était ce qui était en train de se passer plus ou moins avec la patronne. Aiden s'était permis de la remettre un peu à sa place en posant une main sur mon épaule. Un geste qui m'avait fait cesser de respirer quelques secondes avant de quitter ce restaurant qui n'était pas si génial que cela finalement.
Il était hors de question de finir la soirée sur une note aussi pourrie, enfin je ne voulais pas que Aiden pense que sortir avec moi était une mauvaise idée, et qu'il arrivait que des mauvaises choses. Quoi de mieux que d'aller nager pour se changer les idées ? Mon interlocuteur semblait toujours contrarié par le comportement de la patronne.

- Qu'est ce que vous pouvez être frileux, vous, les galbadiens

M'exclamais je de façon exagéré en levant les yeux au ciel. Ils appelaient ça le froid, qu'ils viennent donc mettre les pieds à Trabia plus d'une journée pour se rendre compte que l'hiver ici n'était qu'une vaste blague.

- Le dernier arrivé à la plage est une poule mouillée !

M'écriais je tel un enfant avant de me mettre à courir vers le point d'arrivée. Me voir ainsi faire du sport, c'était rare, alors Aiden devait bien le noter sur son calendrier. Même si là, c'était pour jouer que je courais et non pour sauver la vie de quelqu'un. L'océan m'appelait telle la petite Sirène. Pour le moment je mettais Blanche Neige au placard. Je ne regardais pas où en étais notre course, me concentrant uniquement sur pieds qui se posaient et quittaient le sol. Connaissant la maladresse dont je pouvais faire preuve de temps en temps, je serai capable de me faire un croche pied tout seul.
Quelques minutes plus tard, je foulais le sable. Croyez le ou non, mais ce n'était pas évident de courir sur ce terrain là. Autant la neige, j'étais doué mais sur des petits grains où les pieds s'enfonçaient. Et surtout, il y avait toujours des petits rochers vicieux. Tout heureux que j'étais de voir la mer si proche, je n'avais pas fait attention et mon pied avait buté dans l'un de ces fameux rochers. J'avais alors senti mon corps partir en avant et atterrir dans le sable. Cet élément n'était vraiment pas bon à manger. Je ne savais pas ce qui était le plus horrible entre mon pied qui me faisait mal ou la sensation désagréable des grains dans ma bouche. Le fait que je venais de me rétamer devant Aiden et les quelques touristes qui se baladaient était le cadet de mes soucis actuellement.
Je finissais par me redresser pour m'asseoir, essuyant le sable sur mon visage comme je pouvais. Ce qui n'était pas vraiment évident étant donné que j'en avais pleins les vêtements et les mains. Saleté de cailloux ! Je détestais ce continent. Je voulais rentrer chez moi et boire un chocolat chaud en regardant la neige tomber.

« Parfait. » décréta Aiden, toujours avec le sourire, par rapport à ce qui se passerait s’il partait en mission avec Joris. Bien qu’il y ait peu de chance que ça arrive finalement vu qu’il faisait plus souvent des contrats en solo, c’était bien plus discret et moins dangereux.

« Peut-être un peu des deux. » Il n’était pas forcément incompatible de plaindre et d’admirer quelqu’un en même temps. Mais Aiden ne doutait pas une seule seconde que l’ami de Joris fasse les choses en tout état de cause, on ne se mettait pas en couple sur un coup de tête, non ? Ou alors c’était juste lui qui était encore une fois trop sérieux pour ne pas dire carrément vieux jeu.

Les choses s’enchaînèrent par la suite et débouchèrent sur leur départ du restaurant. Aiden restait mécontent de l’attitude des civils : il était trop facile d’être méprisant quand on ne savait rien de ce qu’était la véritable affliction. Mais il ne pouvait pas rester négatif alors que Joris cherchait visiblement à rattraper un peu l’ambiance de la soirée. Il le suivit donc de bon cœur bien que ne pouvant s’empêcher de répondre à sa petite pique : « Parce que tu ne souffres pas quand il fait chaud l’été toi ? » Plaisanta-t-il, car ne pas sentir le froid comme Joris supposait que la chaleur avait un certain effet… il imaginait tellement son ancien coloc’ râler pendant la saison chaude ! Il n’y avait jamais assisté alors il se trompait peut-être… mais c’était quand même bien le genre de Joris de se plaindre juste pour le plaisir de s’entendre râler. C’était un mode de communication comme un autre au fond : lui était plutôt silencieux par nature et il fallait plutôt interpréter ses mots dans ceux qu’il ne disait pas. C’était autre chose, ça ne le rendait pas pour autant plus abordable que Joris. Juste différent.

Il rattrapa sans trop de difficulté Joris et ne put s’empêcher de rire en le voyant s’étaler au sol sur la plage. Décidant qu’il ne fallait pas laisser le jeune homme replonger dans sa morosité habituelle – il sentait une vague de mauvaise humeur entourer Joris - alors qu’il était si bien partie au départ, Aiden s’approcha et avant que Joris ait eu le temps de dire « chocobo » il se retrouva dans l’eau, avec son camarade qui avait sauté à sa suite même si, vraiment, c’était trop froid pour lui.

« Alors, ça va mieux dans l’eau froide ? » demanda-t-il à Joris qui était bien trempé même si son ex-coloc’ avait fait attention à le mettre à l’eau sans lui faire mal. Ils étaient dans un endroit où il y avait juste assez d’eau pour s’y être jeté, mais où ils avaient encore pieds, surtout Aiden qui était très grand du haut de son mètre quatre-vingt-dix. « Tu remarqueras que je me suis mis dedans aussi ! Mais purée il caille quoi ! » Ses vêtements collaient à sa peau et il passa la main dans ses cheveux pour les mettre en arrière, les mouillant au passage. On voyait encore mieux son tatouage au cou que d’ordinaire, c’était le seul petit élément physique chez Aiden qui faisait un peu rebelle, car sinon, il était bien trop sage, tout le monde le savait.

Je ne savais pas vraiment si le terme parfait pouvait s'accorder à des propos lancé en l'air comme cela mais bon...Je ne voulais pas que Aiden pense que j'étais le genre de personne à laisser tomber les autres. Enfin, c'était cela dit un peu le cas en y pensant. Je ne partais pas non plus en courant comme un lâche. Je restais simplement là, tranquillement. Et puis papy Exodus était d'accord avec mes agissements. On m'avait toujours dit d'écouter ses aînés. Et comme j'étais bien élevé, je le faisais. Mais bon, pour Aiden je pouvais bien faire une exception et m'occuper d'assurer ses arrières en cas de pépin. J'espérais simplement que le problème ne serait pas trop gros. Je ne me battais pas beaucoup, je trouvais cela inutile et épuisant. Un peu comme Serenity finalement. C'était le genre de combat qu'il fallait laisser de côté rapidement à moins de vouloir se taper une migraine pendant mille ans. Un point de plus pour ne pas finir à l'infirmerie. Je n'avais aucune envie de revoir la tête de la médecin, qui se vengerait surement de mes propos. Les humains étaient ainsi non ? Dès que leur fierté était touché, il ne savait plus quoi faire et agissait stupidement en s'en prenant à la personne.
Vu la réaction qu'elle avait eu, je la soupçonnais d'être ce genre d' individu. Ce qui me faisait encore plus plaindre Nathan. Bien sur, j'étais content pour lui qu'il ai trouvé l'amour, que manifestement beaucoup de monde cherchait, mais bon, je ne comprenais pas comment il avait pu trouver quelque chose de bien dans cette femme là. Elle était tout simplement horripilante.

- Peut être...

Il fallait que j'arrête de parler d'elle, sinon à force j'allai vraiment avoir mal à la tête. Changement donc de plan pour améliorer aussi l'humeur de mon interlocuteur. Frileux, ce qui ne m'étonnait pas vu la température haute qu'il y avait à Balamb. Pour mon plus grand malheur. Aiden pouvait donc bien se moquer de moi. Une moue s'affichait sur mon visage.

- Ne te moque pas, c'est toute l'année que je souffre

J'étais habitué aux basses températures alors me retrouver ici, c'était bien compliqué pour mon organisme. En vérité lors de mon arrivée j'avais réussi à être enrhumé alors que à Trabia, je n'avais quasiment été malade. Le froid cela tuait les microbes. Alors oui, je râlais tout seul dans ma chambre contre la chaleur. Les autres n'avaient pas besoin de savoir mon humeur.

Comme là, après m'être lamentablement échoué sur le sable telle une baleine, je n'avais rien dit. Pas un mot n'était sortie. Je maudissais cette pierre simplement par la pensée. Peut être que si je m'étais exprimé à voix haute Aiden ne m'aurait pas jeté dans l'eau comme un vulgaire sac à patate. Je ne l'avais même pas vu venir, ni eu le temps de protester que j'avais senti la fraicheur de l'océan sur ma peau - et bu la tasse au passage. Après avoir bien toussé, je fusillai mon ancien colocataire du regard. Cela dit, le froid faisait du bien à mon pied qui s'était fait attaqué.

- Si c'était ta façon de me consoler tu aurai pu y aller plus doucement

Rétorquais je en retirant mon pull qui pesait maintenant une tonne avec toute l'eau qu'il avait absorbé. Et maintenant Aiden se vantait d'être dans la mer avant de se plaindre de la température. Personnellement, je la trouvais parfaite mais, les goûts et les couleurs comme on dit. Je frappai, pas méchamment, mon interlocuteur avec mon pull. Même si il faisait dix centimètres de plus que moi, je n'avais pas du tout peur de lui.

- Ya ! Ne viens pas te plaindre quand c'est toi qui a commencé !

Je passai une main dans mes cheveux trempés, les mettant dans la même position que ceux de mon vis à vis. C'était à peu près la seule ressemblance entre nous deux. Parce que si le vêtement collé faisait ressortir ses muscles et bien, moi même torse nu il n'y avait pas grand chose à voir. En même temps avec mes 65 kgs tout mouillé, je ne pouvais pas aller bien loin. Et oui je dévisageais Aiden sans aucune pudeur, m'arrêtant sur son tatouage. Je haussai un sourcil. Je ne l'avait jamais remarqué.

- C'est une marque de famille ?

Après tout elle était tellement bizarre que cela ne serait pas du tout étonnant.

« C’était ton idée d’aller piquer une tête ! Je t’ai juste un peu aidé ! » Plaida sur le ton de la plaisanterie Aiden, laissant de côté toute la négativité qu’il y avait pu avoir précédemment avec ce qui, chez lui, s’apparentait le plus à de la bonne humeur. Il n’était pas du genre fêtard, ni exubérant, mais il était un bon ami et il avait voulu changer les idées de Joris. Il semblait que ça ait marché puisqu’il râlait, certes, toutefois c’était sur un mode bon enfant à mille lieu de la crise qu’il avait faite une demi-heure auparavant dans le restaurant. Quel dommage que les civils aient si mal réagi ! Même dans l’eau froide, cela continuait à contrarier Aiden.

Voyant que Joris enlevait son pull plein d’eau, Aiden réalisa qu’il était face au même problème et se déshabilla aussi. Ce n’était pas comme si le tissu mouillé pouvait le protéger de la fraîcheur de l’eau à cette époque de l’année. Et encore, Balamb avait un climat plutôt tempéré… Cela étant, le jeune archer ne comptait pas traîner trop longtemps dans l’eau car il n’avait pas la résistance de Joris au froid et il allait attraper du mal. Torse nu, il frissonna mais se re-concentra sur son ancien colocataire quand celui-ci lui parla de son tatouage. Machinalement, de la main qui ne tenait pas son vêtement trempé, il passa une main sur son cou avant de répondre…

« Non. C’est tout le contraire en fait. Dans ma famille, les seules marques que nous sommes supposés arborer sont les cicatrices faites par les monstres que nous combattons. Quand j’ai décidé de lâcher du leste face à leurs attentes, je me suis fait ce tatouage pour me souvenir que je n’étais plus leur pantin et que je n’espionnerai pas la BGU pour eux. Mon père déteste ce tatouage, ça ne me fait que l’aimer encore plus. » C’était un peu puéril dans le fond comme rébellion, mais sur le moment – et encore maintenant – ça lui faisait du bien d’avoir cette marque qui n’appartenait qu’à lui.

« Bon, tu sais quoi, moi je vais rentrer me mettre au chaud avant de choper une crève carabinée. Tu devrais faire pareille et soigner ta cheville au passage. » Tout en parlant, il se rapprocha du rivage et sortit de l’eau, non sans une certaine prestance. Aiden n’avait pas beaucoup de succès avec les filles en raison de son caractère extrêmement taciturne et sévère (il était le rabat-joie de service qui rappelait le couvre feu à ses camarades quand il était cadet…), sans ça, physiquement, il avait de quoi plaire même s’il ne s’en rendait pas vraiment compte, vu que ça ne l’intéressait pas vraiment comme question. Comme il l’avait dit à Joris, il n’avait pas envie de ce genre d’histoire – que ce soit avec Eirena ou avec une autre – parce qu’il aurait trop peur que les proches d’une de ses cibles ne découvre son identité et ne se venge sur l’élue de son coeur qui n’était pas la petite blonde, non, non qu’allez-vous chercher là!.

« Tu viens ? » Dit-il en se tournant brièvement en grelottant vers Joris avant de prendre le chemin du retour en grelottant. Il allait prendre une douche bien chaude après ce bain de nuit plus que glacé !

{Terminé pour Aiden sauf nécessité contraire}

J'ouvrai la bouche et la refermai suite à l'excuse de mon interlocuteur. M'aider à quoi ? A me noyer ? Il avait de la chance que je sache nager...On avait pas idée de balancer ainsi quelqu'un dans l'eau. J'avais milles et une façons de lui dire ma façon de penser sur la manière dont il m'avait traité mais je tâchai de tenir ma langue. L'ambiance s'était allégé alors pour une fois je ne préférais pas la gâcher avec mon sale caractère. Néanmoins une moue contrarié s'était créé sur mon visage pour montrer que son excuse n'était pas valable à mes yeux. Certes c'était mon idée mais je n'avais pas demandé à ce que Aiden m'aide.
En plus je n'avais pas eu le temps de me déshabiller, du coup mes vêtements étaient tout aussi trempés que moi. Mes chaussures étaient aussi fichus. Je n'étais pas à un Gil près mais je détestais gaspiller inutilement les choses. Mon temps comme l'argent. J'avais donc décidé d'enlever mon pull qui pesait sur mes épaules. Aiden m'avait suivi dans ce mouvement et je pouvais donc bien penser que le petit assassin il était quand même bien foutu. A l'époque où on cohabitait je ne l'avais pas vraiment regardé alors je n'avais pas noté cet état de fait. J'imaginais bien Blackstone baver devant son protecteur tiens. Je profitais de l'occasion pour aussi remarquer qu'il avait un tatouage. Intrigué, je lui demandai d'où cela venait.

- Moi je l'aime bien...

Mieux valait un tatouage que des cicatrices de mon point de vue, mais manifestement dans la maison Saroyan ce n'était pas le cas. Et puis celui que Aiden s'était fait faire était assez artistique, ce n'était pas un petit papillon ou un cœur. J'avais envie d'y poser mes doigts et de suivre les lignes, mais toucher quelqu'un me bloquait encore. Et pas sur que ce geste serait apprécié par mon camarade.
Ce dernier décida de mettre fin à notre petite baignade avant de tomber malade. C'était bien dommage car j'étais très bien dans l'eau mais bon, si Aiden attrapait la fièvre je me sentirai coupable. Je soupirai, essorant autant que je pouvais mon pull au dessus de l'eau pendant que mon interlocuteur atteignait le rivage. Je finissais par en faire de même, retirant mes chaussures pleines d'eau. Je jetais un œil à droite et à gauche avant de me lancer rapidement un soin pour soulager ma cheville.

- J'arrive

Répondais je en esquissant un sourire en voyant Aiden trembler comme une feuille. Je trottinais en chaussette jusqu'à lui, le sable se collant mais je m'en moquais. Je ne marchais cependant pas au côté de l'assassin, restant légèrement en retrait, reprenant par habitude ma place. Le retour à la BGU se passa dans le silence. Rien de pesant, c'était même plutôt agréable. J'étais aussi fier de moi d'avoir fini cette soirée sur une note positive. A part mon écart de colère au restaurant et ce fichu rocher, tout s'était bien dérouler. J'avais aussi appris pleins de choses sur mon ancien colocataire, qui me confortait dans l'idée que c'était quelqu'un de bien.

- La prochaine fois on ira se baigner en Eté

Déclarais je avec un petit sourire timide au moment de se séparer pour retourner dans notre chambre respective.