[Terminé]Mal en point, mais obligé de soigner [Pv Sun]

Aimant bouger durant mes jours de congé ou bien durant mes vacances, j'avais décidé de me rendre dans un village prénommé Winhill ! J'étais arrivé le jour d'avant et je m'étais rendu dans une auberge pour y dormir en toute tranquillité durant mon séjour ~ Je comptais bien visiter les alentours, et même faire des découvertes en cas de besoin. Cela pouvait être utile à la BGU ou même pour moi-même. La seule chose que j'espérais, c'était de ne jamais croisé mon ex qui avait tendance à m'envoyer des messages pour savoir comment j'allais et me dire que celui-ci allait mieux qu'avant. Seulement, je n'en avais plus rien à faire après ce qu'il m'avait fait endurer.

Je marchais dans la montagne et je portais un short avec un tee-shirt comme il faisait beau. Je portais un sac de randonner comme je possédais à l'intérieur de quoi manger et boire pour un bon moment ! D'ailleurs, étant donné que je me trouvais être maladroite de temps en temps et bien, je possédais des affaires médicales pour me soigner en cas de besoin. Surtout que de temps à autre, il m'arrivait de soigner des personnes malades ou blesser.

Au bout d'un moment, je pouvais voir un homme assis contre un arbre et bien amoché. Je courrais dans sa direction et je déposais mon sac à côté de moi. Je l'avais déjà vu à la BGU et il s'agissait d'un instructeur ! Ce dernier avait dû être attaqué ou bien autre chose avait eu lieu. Je sortais tout mon kit de médecin et je le regardais.

- Il faut vous soigner, vous êtes loin d'être en forme et nous ne savons pas ce qui peut avoir lieu dans les environs.

L'homme m'empêchait de prendre soin de lui en levant son bras et en tombant sur le côté pour avoir affaire au sol qui le faisait grimacer. Il me demandait de dégager et je refusais catégoriquement tout en secouant la tête de gauche à droite. Je l'avais fait à deux reprises, car il disait ne m'avoir rien demandé tout en se levant et se tenant contre l'arbre. Sérieusement ? Il était peut-être du genre solitaire et à ne pas se laisser faire, mais je devais trouver une solution pour avoir sa confiance juste un instant.

Mon visage se durcissait et je levais les mains en l'air tout en me reculant. Signe que j'allais abandonner, mais juste le temps de trouver comment l'approcher et le soigner. Il fallait que je trouve une idée rapidement ou bien cela pourrait mal se finir... J'étais une personne de très réfléchit dans ce genre de moment, mais mon cerveau me disait merde.

- Je veux seulement vous soigner, mais sans un minimum de confiance... Je ne peux rien faire du tout et surtout contre votre gré, car vous me dégagez sérieusement même en ayant peu de force. Si vous étiez sur le point de mourir, je ne vous écouterais pas du tout comme je souhaite voir les personnes vivre.

Je prenais mon sac qui se trouvait au sol, je l'ouvrais pour la tournée et faire sortir tout ce qui se trouvait à l'intérieur. Preuve que je n'avais pas d'arme ou de poison, mais juste de quoi soigner les blessures ou des anti-douleurs pour calmer des maux de tête ou autres.

- Je n'ai rien pour vous nuirez et c'est une preuve, car je n'ai pas d'arme ou de médicament qui pourrait vous empoisonner... Juste de quoi soigner et des anti-douleurs. S'il vous plaît, laissez-moi vous aider !

Je le suppliais presque et je le regardais droit dans les yeux avec un air très inquiet et sérieux. Je n'étais pas du genre à mentir, sauf cacher des secrets me concernant à des amis proches.

L'homme me disait être vivant et vouloir mon départ, mais il en était hors de question. Je ne pouvais pas laissé une personne dans son état, surtout que ce dernier semblait me parler ou plutôt parlé à une G-Force. Il arrivait que des cadets, des seeds ou même des soldats viennent à l'infirmerie après avoir eu un contact avec ces entités. Ils avaient du mal à faire face même en étant préparer à l'avance et je n'aimerais pas être à leur place. Ils partageaient leurs sentiments et surtout leurs pensées, car il n'y avait aucun secret entre eux ou du moins presque.

Peu de temps après, je pouvais voir l'instructeur retiré son haut et voir une grimace sur son visage. Il avait des hématomes sur le corps et ce n'était pas très beau à voir, de plus je constatais d'anciennes blessures nullement soignées de mon point de vue. Bien sûr, c'était devenu des cicatrices et je ne pouvais rien dire comme il s'agissait d'un choix venant de sa part. Je pouvais l'entendre me dire qu'au moindre geste suspect venant de ma part, il m'étranglerait et je n'en avais pas peur du tout comparé à mon ex fiancé qui me traumatisait clairement...

- Vous pouvez me tué, la vie m'importe peu. Ma priorité est de soigné les personnes qui en ont besoin ou de protéger mes proches avant de pensée à moi-même réellement.

Je le regardais sérieusement avant de prendre ce dont j'avais besoin pour soigné un minimum. Il n'avait pas besoin de bandage, car il n'y avait pas de coupure. Il faudrait principalement du repos et ne pas bouger énormément le temps que son corps guérisse. Je prenais de la pommade pour l'étaler sur mes mains et je les posais sur son corps au niveau des coups reçus. Il avait du en baver, mais il semblait être une personne forte !

- Vous n'avez rien de grave, mis-à-part vos hématomes qui mettront du temps à partir au vue de votre combat. Il est préférable de ne pas trop bougé et de vous reposé, mais vous n'en tiendrez sûrement pas compte n'est-ce pas ?

J'en avais enfin terminé au niveau de son corps et je sortais un anti-douleur pour lui tendre ainsi qu'une bouteille d'eau nullement ouverte. Il pouvait refusé, car je ne l'obligeais en rien du tout pour cette fois-ci.

- Il s'agit d'un anti-douleur et d'une bouteille d'eau nullement entamé. Il aidera à diminué vos douleurs, pendant plusieurs heures et c'est à renouvelé avec la pommade.

Je n'avais pas peur de mourir, mais il est vrai que les habitants avaient besoin de médecin et que je ne pouvais pas mettre ma vie en jeu... Il avait eu raison pour me rappeler à l'ordre sur le fait d'avoir une vie importante pour soigner les personnes.

L'instructeur Nanoo me disait à nouveau être instructeur et qu'il n'avait pas d'endroit ou se rendre à part la BGU. Ils n'avaient pas le droit de se rendre d'entre d'autre lieu durant les vacances ou les week-ends lorsque ceci n'avait pas de cours à donner aux élèves ? Ce n'était pas normal, ils avaient le droit de bouger dans ce genre de situation... Je n'avais pas encore accès à tout les dossiers, car je n'étais pas encore Médecin officiellement même si ça ne saurait se tarder.

Il me disait que si celui-ci avait quoi que ce soit, il saurait que la faute me reviendrait. Honnêtement, je n'avais rien administré pour tuer... Pour tuer, je préférerais avoir une arme à feu dans les mains et je n'en avais toujours pas acheté alors, que j'avais mon autorisation de port d'armes. Je n'avais pas perdu la main, car je m'entraînais de temps en temps avec mon père lorsque je me trouvais à Delling. Néanmoins, je devrais demander à une personne de la BGU qui utilise ceci pour m'aider à m'améliorer encore plus et il en était capable sauf avec son caractère qui pensait avoir une ennemie en face.

Il me demandait la raison de ma venu et je le regardais après avoir terminer les soins sur cet homme. Je souhaitais l'aider, mais il ne voudrait sûrement pas de mon aide pour descendre jusqu'au village et je haussais les épaules.

- Durant mes jours de repos ou durant mes vacances, je profite pour partir loin de la BGU comme j'aime visité de nouveaux lieux et faire la connaissance des personnes qui me sont totalement inconnu. Je ne pensais pas croisé un instructeur sur mon passage et avoir à le soigner.

Je passais une main dans mes cheveux, je lui avais répondu même si cela ne regardait pas cette personne. Je ne comptais pas lui posé la question, car j'avais peur d'être envoyé boulet à nouveau.

- Si une personne venait à mourir de mes propres mains, ce serait avec une arme à feu et pour me protéger ! Je ne tuerais pas en empoisonnant la personne, puis de toute manière... Je n'ai jamais tué qui que ce soit comme je suis médecin et que vous dites vous-même que ma vie est importante pour soigner les personnes.

Je lui avais clairement dit ma façon de procéder. Je n'aimais pas voir les personnes mourir sous mes yeux, même si cela m'était déjà arriver pour ne pas avoir réussi à soigner dans les temps...

- L'idée de voir une personne mourir sous mes yeux me répugne, c'est pour cette raison que je suis médecin. Je vais devoir vous laisser, car je vais continuer à monter dans la montagne et vous n'avez plus besoin de moi !

Je m'éloignais, j'avais laisser de quoi pour ces blessures ! Je n'étais pas du genre à partir comme une sauvage ou du moins presque... Il ne me faisait pas énormément peur, mais je n'osais pas des masses rester longtemps auprès de lui.